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Spécialiste de l’écriture du corps, Karin Bernfeld est docteure en sémiologie du texte et des images.
Née à Lyon, elle écrit depuis son enfance.
Après avoir pratiqué la danse, elle s’inscrit dans un cours de théâtre à 12 ans pour devenir comédienne.
Journal intime, recueil de poèmes, premier roman à 14 ans (jamais publié).
Elle déménage à Paris à 15 ans, poursuit assidûment le théâtre, pratique la danse, passe son bac. Elle s’inscrit à la fac pour pouvoir continuer à prendre des cours de théâtre. Fait des petits boulots (pose dans des écoles d’art, animatrice Minitel Rose…)
A 19 ans, elle écrit un deuxième roman qui intéresse de nombreux éditeurs ; mais après deux ans de démarches, aucun ne l’a sorti.
Elle écrit Apologie de la passivité à 21 ans. On la voit à la télé, dans les journaux…
Alice au pays des femelles, le roman maudit, sort un an et demi plus tard.
Côté théâtre, ses expériences sont variées mais peu lucratives : figurations, café-théâtre, courts-métrages, théâtre pour enfants… Elle monte un projet personnel adapté d’un roman de Valérie Valère, un monologue poignant où elle joue tous les rôles.
Elle a écrit un court texte pour la scène et deux scenarii de courts-métrages…
L’année de ses 24 ans elle a achevé un récit autobiographique sur l’histoire de sa famille : Les Portes de l’espérance.
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Plainte contre X
(La Margouline 2013)
Apologie de la passivité (Prix Goya 1999)
(Lattès 1999, J’ai Lu 2001)
Alice au pays des femelles
(Balland 2001, J’ai Lu 2002)
Les portes de l’espérance
(Flammarion 2003)
LE SITE DE L’AUTEUR
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